Et si en CM2 on honorait la mémoire de François Mittérand et sa Francisque ?

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Question by 49.3: Et si en CM2 on honorait la mémoire de François Mittérand et sa Francisque ?
Il a été, de mai 1942 à la fin 1943, un « résistant » en mission à Vichy, décoré le 16 août 1943 de la Francisque n° 2 202 par le Maréchal. Il a commencé à publier des articles dans France, la « Revue de l’Etat Nouveau » (n°5 de décembre 1942). Son premier papier s’intitulait « Pèlerinage en Thuringe » (région orientale de l’Allemagne).


Best answer:

Answer by Segel (ex Gérard)
Euh toi t'as pas vu que les archives du MI6 ont été déclassifiées, sinon tu comprendrais que ton affirmation est ridicule.

Allez comme je suis bon gars je te donne le lien vers un site d'anciens combattants :
http://www.anciencombattant.com/article.cfm?id=106159


L'ancien président de la République François Mitterrand affirmait que la Gestapo le considérait comme un « suspect » pendant la Seconde guerre mondiale, selon un rapport des services secrets britanniques de l'époque et qui vient d'être rendu public.
Evacué de France par la Royal Air Force en novembre 1943, Mitterrand avait été interrogé à son arrivée en Grande-Bretagne par la Direction des opérations spéciales (Special operations executive, SOE) qui avait pour mission de soutenir les réseaux de résistance et a été dissous en 1946.
Le rapport d'interrogatoire, conservé jusqu'à récemment dans les archives du MI6, les services secrets britanniques, a été récemment rendu public par les Archives nationales britanniques. L'ancien président, décédé en 1996, y était identifié comme « Monier », l'un des trois pseudonymes signalés sur son dossier.
Selon le rapport, François Mitterrand « n'a pas dit grand-chose pendant l'interrogatoire ». « A cause de son travail, néanmoins, il a beaucoup circulé entre la Zone sud (sous l'autorité du régime de Vichy jusqu'à son invasion en novembre 1942) et la Zone nord, vivant par intervalles à Vichy », précise encore le rapport des services secrets britanniques, qui indique que François Mitterrand changeait fréquemment d'adresse, restant en général au même endroit une journée seulement et jamais plus d'une semaine. « De cette façon, il pensait que les Allemands ne pourraient jamais le rattraper. »

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